Tout d’abord en quelques chiffres, le constat est évident :
Le montant des ventes en ligne en 2011, en France, a augmenté de 22% par rapport à 2010. Soit la seconde plus forte augmentation en Europe juste après la Belgique.
La France occupe la 5ème position des acheteurs en ligne, au dessus de la moyenne Européenne.
62 % des entreprises en e-commerce prévoyaient des augmentations d’effectifs sur l’année 2012.
Le marché du e-commerce représentait 37,7 milliards d’euros en 2011.
Maintenant si l’on se penche d’un peu plus prêt sur le segment des professionnels, cela devient encore plus intéressant.
En effet, si l’on observe la part des entreprises des pays européens qui propose leurs produits ou services aux professionnels en e-commerce. Soit plus simplement, le e-commerce en B to B. On observe que la France tient la royale 11ème place sur 12 pays observés, juste devant l’Espagne et juste derrière l’Italie.
Lorsque l’on sait que 73 % des professionnels déclarent faire leurs achats
professionnels via Internet, la question est posée.
Qu’attendons-nous pour prendre le virage à une plus grande échelle ?
Vous seriez tenter de me répondre pour certains : « Internet ne se prête pas à tous les marchés et à toutes activités ». Je vous répondrez ceci : « Certes, je ne propose pas de fermer boutique ou bureaux pour ne se consacrer qu’exclusivement à la toile. Mais vous êtes vous poser la question sérieusement ne serait-ce qu’une seule fois…y a-t-il une partie de mes services ou des mes produits qui pourrait faire l’objet d’un développement d’une offre dédiée à l’Internaute, particulier ou professionnel ? »
La question est donc posée.
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